J’fais d’la musique pour survivre, pas pour briller.
Chaque son, une part d’moi qu’j’enterre.
Je transforme mes blessures en lumière
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Je suis Obscyra, j’ai traversé des silences, des nuits, des fragments de moi-même. Mon univers ne naît pas d’une volonté de plaire ou de suivre une mode : il est l’écho d’un chemin que j’ai dû franchir pour exister.Originaire d’un territoire intime marqué par le malaise et les mots non dits, j’ai grandi avec une blessure profonde : le harcèlement scolaire. Un passé que je n’ai pas choisi mais que j’ai transformé en tremplin. Comme l’a souligné Le Dauphiné Libéré, « un jeune homme meurtri par le harcèlement scolaire », utilisant la musique pour donner voix à ce qu’on tait.
Le Dauphiné LibéréMon « studio » n’a pas toujours été une scène. Il a fallu passer par la vulnérabilité, passer par la peur de se tenir debout. Mais un jour, j’ai décidé que mon histoire ne resterait pas un fardeau : elle deviendrait matière, son, écriture, souffle.Alors j’ai choisi la création. Une écriture guidée par l’engagement, la sincérité, l’introspection. Une musique qui refuse la superficialité, qui ose regarder l’ombre pour mieux trouver la lumière.Aujourd’hui, je viens de cet endroit où l’on ne parle pas, mais où l’on ressent beaucoup. Je viens de cette mémoire silencieuse, et je viens m’en affranchir. Mon art est là pour ré-animer les mots, réveiller les émotions, libérer les voix.Parce que ce monde mérite qu’on entende les fragments, les cicatrices, les éclairs. Et je suis là, à mon tour, pour les transformer en musique.
“Là où je renais”, c’est plus qu’un album : c’est l’endroit précis où j’ai décidé de reprendre vie.Je l’ai écrit à un moment où tout était encore fragile, quand la douleur faisait partie du quotidien, quand le silence pesait plus lourd que les mots. Cet album raconte ce chemin-là : celui d’un jeune homme qui a dû tomber pour comprendre ce qu’il pouvait devenir.On y trouve mes premières cicatrices musicales, mes premières tentatives pour transformer le mal en lumière. Chaque morceau est un fragment d’histoire :
— la chute,
— la lutte intérieure,
— puis ce souffle nouveau qui arrive quand on comprend que la douleur n’est pas une fin, mais un passage.Comme l’a montré mon parcours, et comme l’a remarqué la presse, je n’ai pas construit ce projet pour créer de la musique “parfaite”, mais pour créer quelque chose de vrai. Ce premier album est brut, sincère, humain. Il porte mes premières flammes et mes premiers froids.C’est le point de départ de tout ce qu’Obscyra deviendra après.
La preuve qu’on peut renaître même quand personne ne nous attend.
La preuve que la lumière existe, même quand elle ne ressemble à rien.“Là où je renais”, c’est la naissance d’Obscyra — l’instant où ma douleur commence à se transformer en lucidité, et ma lucidité, en lumière.


Sur mes réseaux, tu trouveras des textes, des pensées et des musiques qui explorent l’ombre et la lumière.
Des fragments sincères, des émotions vraies, et l’évolution d’Obscyra au fil des jours.
J’écris de la poésie, des citations et des pensées philosophiques.
Des mots qui cherchent la vérité dans l’ombre et la lumière.

L’article du Dauphiné Libéré du 11 novembre 2025 raconte l’histoire d’un jeune homme, victime de harcèlement scolaire, qui a trouvé refuge dans la création musicale. Sous le pseudonyme Obscyra, il transforme sa douleur en art, en utilisant notamment des outils d’intelligence artificielle pour composer. Son entourage et des professionnels témoignent de la profondeur de son engagement et de la manière dont la musique l’aide à se reconstruire.